Ces dernières années, les lois régissant le dialogue social ont beaucoup évolué. Désormais, toutes les décisions sont prises au niveau Groupe. Cela s’applique bien évidemment pour le Groupe THALES et ce, qu’il s’agisse d’accords structurants comme ceux sur le temps de travail, le CET, le handicap, les déplacements, les mobilités, les dispositions sociales diverses, le temps partiel, l’égalité femmes hommes, les mesures seniors.

Lorsqu’un accord d’entreprise, c’est-à-dire au niveau de l’entreprise, partie constituante d’un Groupe, est négocié, ce n’est qu’une déclinaison à la marge d’un accord négocié au niveau du Groupe. Les accords d’établissements, quant à eux, – négociés au niveau de l’établissement c’est-à-dire pour un périmètre géographique réduit – ont un très faible impact sur la vie des salariés.

En d’autres termes, pour prendre part aux discussions et décisions qui régissent la vie des salariés de Thales DIS et leurs droits, pour qu’ils soient informés au plus près de ce qu’il se passe, une organisation syndicale doit être présente au niveau du Groupe. C’est le cas de la CFE-CGC de Thales DIS qui est présente à tous les niveaux du Groupe aujourd’hui.

Ainsi, la CFE-CGC de Thales DIS a permis d’obtenir :

–        La sauvegarde du site de Pont-Audemer avec une solution de réindustrialisation pérenne,

–        Des indemnités de 60 à 90 € pour chaque nuit passée hors du domicile

–        Un accompagnement financier pour les salariés de DIS qui ont fait le choix de travailler pour une autre filiale du Groupe,

–        Deux jours de fractionnement en plus,

–        Une compensation des temps de trajet,

–        La conservation du mode de calcul de DIS concernant la prime d’ancienneté pour les non-cadres qui en bénéficiaient,

–        Un complément de salaire en cas de maladie pour les non-cadres à la même hauteur que celui des cadres,

–        Des indemnités de départ à la retraite supérieures (jusqu’à 6 mois de salaire en plus),

–        La possibilité de s’arrêter de travailler jusqu’à 300 jours avant le départ à la retraite avec le CET fin de carrière,

–        Des rattrapages égalité femme homme avec des enveloppes financières distribuées chaque année,

–        La reconduite d’un intéressement pour les trois prochaines années avec un montant à la hausse,

–        Des congés supplémentaires et des mesures d’accompagnement pour les salariés en situation de handicap ou pour les salariés dont le conjoint et/ou l’enfant est en situation de handicap,

–        Un PERECO pour bénéficier d’un capital ou d’une rente à la retraite.

Pour toutes ces raisons, voter CFE-CGC est le plus sûr moyen d’être entendu, pris en compte, défendu au niveau du Groupe Thales. CFE-CGC de Thales DIS, une expertise à tous les niveaux du Groupe.